En vérité nue, une bonne tenue est de mise. Il faut le Savoir.
Femme de plume jouit de toute une panoplie, dont elle sait se dévêtir
Soulignée en autres arguments, structurée dans toutes ses parties,
Longues en déroulés ou vue, ou brèves quand se dépêche,
Les dessous de l’affaire sont délicats à exposer.
Introduction et Conclusion sont à soigner en particulier.
Aussi fidèle à sa féminine nature que volage en matière de jupons,
En l’ève, une robe garde comme lève les barrières en d’autres occasions.
Quand il s’agit d’impairs, la satyre est aisée, dans ses meilleurs quartiers,
Pressée comme un regard qui glisse sur les lignes,
Elle recourbe haut ses cils et hausse le sourcil…
Plait-il ? au final est la question…
De mauvais gré jamais ne se voile. De gré à gré décline,
De toutes ses hautes coutures au fil blanc de ses pages ,
Entête haute, à peine elle se retourne …surtout en Capitale.
En matière de bagages, les impairs sont à la roulette,
Ce que la Russe est au mannequin.
Une cascade de r qui roulent comme d’autres des fesses.
L’accent y est tonique et le trait appuyé.
A défaut de bagages, irréprochable tenue,
Demande elle plus de soins,
Sous peine de paraitre pour partie en négligé.
La forme et la ligne s’entretiennent,
Comme composition s’impose sur l’étiquette .
D’entretien facile, comme un bronze au soleil,
Ou en plastique parfaite sous la pluie.
Tout un signe des temps qui court,
Longtemps et souvent sur la ligne au kilomètre,
à vous couper le souffle, à en perdre le fil.
De tenue d’Adam à grande pomme,
Sans plus de transition, femme de plume varie ,
Comme elle change de chemise, comme elle change de sous-chemise.
Stand Up, je vous tends le micro,
Ne signifie pas que minijupe soit mal coupée,
Ni de la friture sur la ligne, une perche qui tombe apique,
Comme l’as au carré, juste au niveau du menton.
Le sens des Conventions porte ses fruits, entre autre Conférences,
qui file à l’anglaise sans que mauvais genre soit en question.
Couchée, en dernières volontés, un homme suffit,
Surtout s’il est unique en Boss, à lui faire perdre la tête.
A perdre la préséance, autant que comme le vent, le masculin l’emporte.
Ne pas l’apprendre par coeur, voire même au bord des lèvres,
Serait en scène finale se faire tailler un costume en trois pièces sur mesure.
- Ce n’est pas parce que femme est crue, que les carottes sont cuites. Il faut le Savoir.
- Le sport rase moins bien la femme que le blaireau. Il faut le Savoir.
- La femme claque des talons pour une faute de trop. Il faut le Savoir.
- L’excès de gravité nuit gravement à l’équilibre. Il faut le Savoir.
- La femme en a ras le Flower Power. Il faut le Savoir.
- Les devoirs conjugaux s’éternisent quand la maîtresse a la main lourde. Il faut le Savoir.
- Gare aux billets. Ils sont d’humeur changeante, quand ils sont Cash. Il faut le Savoir.
- Le coup de la panne reste peu à craindre, quand de tête, les mots font le business. Il faut le Savoir.
- SOS. La Marinière n’est plus de saison. Il faut le Savoir.
- La Femme est Comédienne. Bien trop d’Attributs dépassent du Sujet. Il faut le Savoir.
- Mais, Plus ne s’accordent pas comme Toujours, en toute liberté. C’est adverbial. Il faut le Savoir.