La femme claque des talons pour une faute de trop. Il faut le savoir.
Clic, clac, clic, clic, clac se comparent à écrire,
Comme la machine à bidule, à truc ou à chouette.
Comme ulule à la nuit si tombe d’une affable,
Comme roucoule à plume, si s’enroule de boa,
Comme pourquoi pas , sans grandes largeurs,
Ni autres formes de rondeur, se compare à bof.
Pause. La femme cherche une touche.
Jouer du Clavier n’est pas qu’au Cinema,
Ni entre autres aléas, un simple fruit de l’Azerty
Clic, clac, clic, clic, clac se répètent encore,
Comme un clou qu’on enfonce,
Les femmes martèlent les lieux communs,
De leur pas léger de plume.
Retour à la ligne, autre style de paragraphe .
Crève le papier si signe Furax,
Crève les bulles si emballe avec des plic, plac, ploc
Crève le cœur, si l’attrape ou l’arnaque.
Plantées là de Racine à Achille,
Comme de Talons à Aiguille,
Pressées, elles sèment à tout vent,
Des tic, tac, tic, tac plantés un peu en vrac.
Plutôt froissées, comme papier,
Quand jetées à la rue avec désinvolture,
Avant de se récupérer et achever quelques phrases,
Bien tournées, comme elles de leur personne,
Les femmes claquent des talons pour une faute de trop,
Pour un mot un peu vif, le nez au vent qu’on s’éprit,
Le nez en l’air de la moutarde qui forcit.
Elles cherchent toutes jusqu’à leur dernière cartouche,
De la meilleure sans effets jusqu’à la plus brigandine.
Quand fleur au fusil elles dégainent les premières,
Risquent l’abordage et se sert sans vergogne,
Le talon en pique assiette, l’Achille en équilibre.
Toute une aventure qui commence, dès lors qu’elles concluent.
En dernier mot Toujours, met Point final à Jamais.
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