Mais, Plus ne s’accordent pas comme Toujours, en toute liberté. C’est adverbial. Il faut le Savoir.
Mais, Plus ne s’accordent pas comme Toujours, en toute liberté.
La fin ne présage ni du singulier, ni du pluriel en société.
C’est adverbial. Surtout Quand Après est Enfin, le mot de la faim.
Surtout Comme Parfois, mal acquise est la langue et ne profite qu’à Guère.
C’est proverbial. N’y allons pas par quatre chemins, sur chentiers,
Le mauvais Franchais maitriche comme il respire et chouffle si ch’est trop chaud.
Es Potache, servi en instantané sur plateaux, se boit comme petit lèche en Portugueche.
En licence laborieuse, Toujours plus est autre paire de manches.
De celle qu’on retrousse…sans plus d’effets désirés.
(Cf. une autre partie, en référence, toute aussi signifiante,
Un peu plus loin dans le déroulé …
Pas trop loin quand m’aime, n’abusez point,
Tout n’est pas qu’un seul sens unique.)
Même en contextes, femme de plume varie.
A rougir et à l’oreille, certaines sont réservées,
Comme les stylos, faute de plume.
Une question de petites notes,
C’est signifié en gros et à peu près du côté de l’épicier.
Du stylo à l’oreille, prendra quoi ma petite dame, il serait néanmoins hasardeux,
De déduire en addition de « Siou plait », qu’il apprécie femme de plume,
Tout comme de conclure de «Ben, à demain » que son fils, Ben est manuel.
Au doigt sur la bouche, c’est question de meilleure facture,
Comme commentaires font le pont et quelques autres soupirent.
En silence, les fruits du labeur se recueillent.
Chut !
C’est signifié en gros, du côté de la bibliothèque.
Quand le jeûne fait l’impasse et manque de paroles,
C’est la cène assurée, sans faire pour autant tout un noir tableau.
Aux dents qui grincent, c’est question de douloureuse,
Du Côté de la Corbeille , n’a pas le melon qui veut,
Et suit souvent le standard, comme orange à Noël.
Pas une once de jugeote du côté de la Bourse,
Ni de commune mesure pour la permanente de Constance.
Par quelques petits apports, en volume, il faut y contribuer.
C’est signifié en gros et sans détail du côté de la Bourse.
En règle d’arts, graphiques et toutes variables entêtes,
La mode des hauts et des bas vaut mieux
Que ligne plate sous toutes les coutures.
Pas d’autres moyens que de la prendre par cœur,
Pour avec succès s’y essayer et l’entreprendre.
La devise donne le change, en principal et accessoires,
Comme l’intérêt se salue d’un Chapeau, en morale de l’histoire.
Standard comme musique, bloquée dans l’ascenseur,
Souvent des 4 saisons, pour instance et au jugé, en box d’office.
La party est remise comme arrière fond, en play back au bureau.
Avoir les petites notes sur le bout de la langue ne suffit guère.
En import et En outre Manche, même si sans effets désirés,
C’est sur Bristol qu’elle résonne sentencieuse .
Tenue correcte exigée. RSVPie jacasse en bonnes et dues formes.
C’est simple nota Benêt ou C’est en Poche, conclua une belle Brochette de collection,
Pour la femme de plume, le change est aisé et de bonne tenue.
Elle passe de la monnaie à l’hôtel, d’une simple déduction,
Comme elle taxe, en effets, quand elle refait la Manche.
Pour s’affranchir de Chaine et s’offrir un Chanel.
Tout compte fait. My taylor is rich.
Reste le B.a.ba pour femme de plume. Il faut le Savoir.
- Ce n’est pas parce que femme est crue, que les carottes sont cuites. Il faut le Savoir.
- Le sport rase moins bien la femme que le blaireau. Il faut le Savoir.
- La femme claque des talons pour une faute de trop. Il faut le Savoir.
- L’excès de gravité nuit gravement à l’équilibre. Il faut le Savoir.
- La femme en a ras le Flower Power. Il faut le Savoir.
- Les devoirs conjugaux s’éternisent quand la maîtresse a la main lourde. Il faut le Savoir.
- Gare aux billets. Ils sont d’humeur changeante, quand ils sont Cash. Il faut le Savoir.Â
- Le coup de la panne reste peu à craindre, quand de tête, les mots font le business. Il faut le Savoir.
- SOS. La Marinière n’est plus de saison. Il faut le Savoir.
- La Femme est Comédienne. Bien trop d’Attributs dépassent du Sujet. Il faut le Savoir.
j’en reste BABA non au rhum
mon défaut de plume vous inspira t il ou je prends mes désirs pour des réalités
toujours plus est un bon slogan aussi permet il la licence en beaucoup d’actions
toujours un plaisir de vous lire bien que plume varie ,mais si vote plume se rapporte a votre ramage vous êtes le phénix
de la page en Velin une Scène autrement plus importante au quotidien
a vous lire
dans vos éclats d’ ecriture
Robert
Le 3 octobre 2013 17:06, “Eve ry de tout , A more included, & für Viel en +