A l’Aise Blaise, même en Pascals, ne signifie pas qu’entrées en matière et sorties en pesanteur soient appréciées à leur juste valeur. Il faut le Savoir.
En matière de fautes, les codes sont assez stricts.
Surtout si Madame chausse des lunettes en plus du 40,
Et qu’en guise de pied de nez, lui répète en l’air et en boucle ,
Paroles et Paroles. Elle connaît la chanson.
Rien n’y fait, ni à faire, il y a forte probabilité qu’il mate les paires.
C’est louche, cette affaire lui dira-t-elle , entre quatre yeux,
Voire en double foyer, sous une autre optique.
Même blanc comme neige, c’est bonnet blanc au banc d’essai,
Soupesée du regard, détaillée sous toutes mensurations,
De la plus petite largeur du bas à la plus grande profondeur du haut,
Sans le compas dans l’œil, en somme, c’est nul, mais bien égal.
S’exprimer en laissant ses coordonnées au centre d’attraction
En dérivant l’équation de la cycloïde à un point quelconque de la courbe
N’augure pas plus du résultat, que de s’essayer au hasard de la roulette.
Plate comme mauvaise pente ou rebondie comme bonne pioche,
L’art du compliment est terrain glissant et le dérapage aisé.
Ne pas s’en faire a des ornières d’impasse, comme à l’oreille des petits creux à remplir.
En faire trop, alourdit la démarche et fait gonfler les chevilles.
Y rajouter les formes, n’est pas gagné d’avance. Toucher n’est pas jouer.
Toucher les paires et coulé par les impairs, la preuve est à l’appui.
En guise d’échantillon et sans plus de conventions, A2 c’est touché, A+, c’est coulé.
Sur première femme de plume qui passe en salons,
S’attarder sur les courbes pour enchainer sur l’ellipse,
Est équation ardue en matière d’abstraction, dans ce physique là.
Le pari est risqué en contraintes et pressions et l’extrapolation hasardeuse.
L’Angle est déterminant. A l’Aise Blaise, même en Pascals,
Ne signifie pas qu’entrées en matière et sorties en pesanteur,
Soient appréciées à leur juste valeur. Il faut le Savoir.
Pour lire d’autres Chroniques Gastropodiques, par le Menu, c’est ici.
Pour en Savoir Plus sur les étranges lois de la Physique Métrolopolitaine, c’est là.