Au Diable l’Avarice, vous dira la Calculatrice. Il faut le Savoir.
Il faut se faire une raison, même si elle n’est pas carré.
C’est égal n’est pas plus vrai que c’est tout naturel.
Sans faute à son goût, bien entrainée en associations,
Comme s’écrit, femme de plume,
Même pas de coquilles, rien que du naturel !
Un simple bouquet numérique, confirme sans artifices,
En somme, la coquette logique.
Plume prêtée au clair de lune sans usure aucune,
Sera compte rendu au point du jour.
Point de trêve, congés des confiseurs et autre division,
Ce qui reste n’est que fantaisies et littérature.
Stand by. Point de pause comme trêve de mots assassins.
A l’écart du côté du type, la gaussienne n’est pas à son affaire.
La source d’écarts est erreur courante, mais l’excuse mal appréciée.
De prose sur le champs à course à la Prévert,
De mémo de bureau à n’oublies pas le pain,
De Numérotes tes abattis à alignes tes marges,
Si compte était doublé, ce serait que presque plus que parfait,
Colle le sur le frigo … De facture conteuse, aussitôt c’est réglé.
En trois mots, quatre temps, moins encore qu’il ne faut pour le dire,
Au diable l’avarice vous dira la calculatrice. Il faut le Savoir.
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Nos suggestions à la carte, pour accompagner cette chronique (1er volet de la quadrilogie sur le calcul et la parole) :
2) La Bonne Parole, Volatile, se Disperse à Tire d’Ailes. Quoi que … Il Faille, le Savoir.
3) La Critique est Facile, mais en Ignorant la Sauter n’est pas Aisé. Il faut le Savoir.
4) La Preuve par Deux marche aussi à l’Envers. Parole de pied ! Il faut le Savoir.