L’improbable spontané en point de départ
1, 2, 3 … Prêt … en bulle ! (Préambule spontané)
Rien à dire, c’est la Crise …Quarante ans et des poussières, pour en écrire la toute première ligne …Quarante ans et des poussières comme son héroine Eve
Rien à dire, c’est vite dit, …écrit comme mon débit de paroles …rapide et assez parisienne en somme comme en déduction … le tout pianoter allegro …au rythme où mes doigts peuvent me porter …non… où mes doigts doivent me porter …comme l’ héroine, Eve, aucune intention de me limiter à des considérations physiques et techniques …
Rien à dire, c’est vite dit aussi, quand Eve trouve le temps long …
Rien à dire, c’est bourré de fautes …mais c’est l’intention qui compte …l’intention de fauter, comme Eve et à plus d’un titre …
Rien à dire, c’est déjà beaucoup … surtout servie à toutes les sauces et déclinées à ma façon, à l’improbable spontané …Et pour Eve, c’est déjà beaucoup de trop en point de départ, bien avant ses “encore, encore …” …
Rien à dire, c’est un vrai jeu d’enfants, les mots … ..ce n’est pas facile de faire simple comme enfantin, quand tout est compliqué … C’est compliqué la régression des littéraires …même pas en ligne droite et plutot en tours, détours et retours à la ligne … A vous de jouer … A vous de lire Eve dans son improbable spontané …
Et que mon bon plaisir d’écrire, soit partagé … ou pas . Ca dépend de vous, du sens des avis partagés …enfin, bon vous avez compris l’illogique du spontané, non ?
Un, deux, Trois …Prêt …c’est parti pour le Chapitre I : Larmes de Noël, Boules au ventre et Eve sans guirlande …
Tes billets d’humeurs tout zazimut vont prendre du sens, en transitant par ce nouveau carrefour d’idées “Everydetout”.Tu n’as pas fini de nous embrouiller, denous éclairer… et c’est tant mieux!!!
should have say “Oliver Schneider” says…!